Il y a des passages assez ardus oui. Mais ce que j'aime beaucoup chez Deleuze, c'est qu'il ne faut pas lutter, même si on a du mal à comprendre. Il essaie de faire travailler un ressenti. Tout est très visuel, sensitif. Et parfois, de manière surprenante, certaines idées prennent forme seulement plus tard. Ce n'est pas son exclusivité, mais je le trouve très habile à ce jeu.